Le propre de la puissance est de protéger (Pascal)

Ma vie présente dans la chair, je la vis dans la foi au Fils de Dieu qui m’a aimé et s’est livré pour moi (St Paul, Ga 2,20)

Ce qu’est le prêtre pour moi ? Vivant ou mort, c’est toujours à l’un d’eux que je pense lorsque je désespère de l’homme et que la tentation du mépris me prend à la gorge. Au fond, et sans qu’ils le sachent, les prêtres sont les seuls vrais poètes, les seuls qui aient choisi l’absolu. (François Mauriac)

A chaque acte d’amour, il y a donc comme une mort consentie : une nécessaire diminution, un « laissez-passer » qu’on accorde à autre que soi, une douce renonciation (Martin Steffens)

Prier et ne pas avoir envie de se battre, je pense que c’est mal élevé ! (Peguy)

Je suis là où Dieu veut que je sois. Je fais ce que Dieu veut que je fasse : je ne connais d’autre bonheur dans la vie. On peut être saint partout, quand on en a envie (St Claude de la Colombière)

Toute vérité franchit trois étapes. D’abord, elle est ridiculisée. Ensuite, elle subit une forte opposition. Puis, elle est considérée comme ayant été une évidence. (Arthur Schopenhauer)

Dieu a créé l’homme comme la mer a formé les continents : en se retirant (Friedrich Hölderlin)

Entre le faible et le fort, la liberté opprime et la loi libère (Lacordaire)

En aucun autre lieu l’homme ne peut mieux se rendre compte de ce qu’il vaut, qu’en se regardant dans le miroir de la croix (St Antoine de Padoue)